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Le tableau périodique - Partie 4 - Les familles chimiques Le tableau périodique - Partie 4 - Les familles chimiques

Niveau de difficulté : 3

Bonjour et Bienvenue !

Nous avons vu dans les parties précédentes les informations que nous pouvions tirer :

  • du format de contour des cases du tableau périodique,
  • de la couleur des cases,
  • du contenu des cases,
  • et des lignes et des colonnes du tableau.

Dans cette partie, nous allons détailler le contenu des familles chimiques. Alors allons-y pour découvrir ensemble les caractéristiques des familles et des éléments qui les constituent !

Les familles du groupe A : les 8 familles principales

Bien, nous avons vu à la fin de la partie précédente que deux familles étaient numérotées séparément dans le tableau périodiques. La famille du groupe A, en bleu, correspond aux deux premières colonnes (en retirant l'hydrogène, H), et aux six dernières, alors que la famille du groupe B, en mauve dans la figure ci-dessous, correspond aux métaux de transition :

Les familles du tableau sont coupées en deux :  La famille A, qui comprend les 2 colonnes de gauche et les 6 colonnes de droite La famille B, qui comprend toutes les colonnes du milieu

Tout d'abord, repartons sur un tableau périodique simplifié : gardons les couleurs, les formats de contour, les numéros atomiques, les symboles et les noms des éléments. Comme nous nous intéressons aux familles du groupe A, posons voile léger sur les familles du groupe B. Nous nous y intéresserons plus tard !

Tableau périodique des éléments chimiques

Chaque famille (donc colonne) du groupe A porte un nom. Les 4 plus intéressantes d'un point de vue des propriétés chimiques (les deux premières et les deux dernières) portent en fait le nom de leurs sous-catégories. Les quatre autres familles portent le nom du premier atome de la colonne. 

Les 4 plus intéressantes :

  • La famille des alcalins,
  • La famille des alcalino-terreux,
  • La famille des halogènes,
  • La famille des gaz inertes,

Et les 4 autres :

  • La famille du bore,
  • La famille du carbone,
  • La famille de l'azote,
  • La famille de l'oxygène.

 Les différentes familles du groupe A du tableau périodique des éléments chimiques.

Famille VIIIA : les gaz intertes

La famille des gaz intertes (ou gaz rares car ils sont assez rares dans l'atmosphère terrestre) correspond aux éléments tout à droite de ce tableau.

Ce sont des éléments extrêmement stables, très peu réactifs : ils ne partagent pas leurs électrons et ne font donc pas de réactions chimiques. Tous les éléments chimiques tendent à la même stabilité électronique que le gaz rares. Ce qui implique certaines modifications de leurs caractéristiques pour y parvenir, comme nous le verrons dans la suite.

Ces gaz ne sont pas métalliques et sont incolores, sauf lorqu'ils sont soumis à une tension électrique basse pression : ils émettent alors une lueur.

Tous les gaz rares, lorsqu'ils composent plus de 50% de l'air respiré, remplacent progressivement l'oxygène de nos poumons, ce qui induit une asphyxie puis une narcose si un air sain n'est pas rapidement respiré. Mais hormis cela, ils ne présentent pas de toxicité particulière.

Quelques  caractéristiques et exemples d'utilisation :

1      Hélium

6 fois moins dense que l'air !
Utilisé dans les ballons météos, les ballons dirigeables... ou encore dans les fêtes.
À pression ambiante et par -269°C, il peut être liquéfié : l'He liquide est utilisé dans le refroidissement de bobines supraconductrices, comme la résonnance magnétique nucléaire.
  

Pourquoi respirer de l'hélium rend la voix plus aigüe ?  Augmenter la vitesse revient à augmenter la fréquence du son : la voix devient plus aigüe !

2     Néon

Couleur orange lorsqu'il est excité.
Souvent utilisé dans les enseignes lumineuses, dans les télévisions à écrans plasma et dans les lasers.
Parfois utilisé pour remplir certaines chambres à rayons-X.
   
3     Argon Plus dense que l'air !
Utilisé dans les doubles vitrages : sa densité rend difficiles les déplacements d'air, ce qui augmente les performences thermiques.
Utilisé en chimie fine, dans des extincteurs, pour du soudage à l'arc, pour la conservation de la viande...
Utilisé pour remplir les ampoules des lampes à incandescence ou à basse consommation.
   
4     Krypton Bien plus dense que l'air.
Utilisé dans des lampes car il émet une lueur blanchâtre lorsqu'il est excité.
Utilisé pour l'isolation dans les doubles vitrages.
Utilisé dans certains lasers en médecine et lithographie.
   
5     Xénon Lueur légèrement bleutée lorsqu'il est excité.
Utilisé dans les lampes à décharge, il permet de produire une lumière proche de celle du Soleil à midi !
Utilisé dans certains phares de voiture.
Depuis 2007, utilisé au niveau européen comme anesthésique.
   
6     Radon Radioactif !
Demi-vie = 3,8 jours.
Intense radioactivité rend son étude difficile.
Utilisé en radiothérapie jusque dans les années 1950.
Naturellement présent dans l'atmosphère : principal responsable de la dose de radioactivité présente dans tous les organismes vivants, notamment animaux.
   
7     Oganesson

De la famille des transuraniens, les 15 derniers éléments du tableau périodique.

Ce gaz est le tout dernier élément du tableau périodique !
Radioactif !
Découvert en 2002 par Iouri Oganessian (Russe).
Demi-vie = quelques millièmes de seconde seulement !
Totalement instable, ce qui rend son étude très difficile.
Jerabek et al. (2019) montre que cet élément aurait des caractéristiques hors du commun, comme un nuage électronique diffus au lieu d'une organisation en couches, ou encore la capacité de s'agglomérer un solide. Mais ces études restent préliminaires et beaucoup de choses sont encore découvrir et approfondir sur le sujet !

Famille VIIA : les halogènes

Hormis les deux éléments les plus lourds, radioactifs, les gaz rares sont particulièrement stables, ayant toutes leurs couches électroniques remplies (pour comprendre le fonctionnement des couches électroniques et des couches de valences, il faut aller faire un tour dans les chapitres suivants ).

Tous les éléments chimiques cherchent à atteindre le niveau de stabilité des gaz rares.

Les halogènes, qui sont dans la famille VIIA, la colonne toute de suite à gauche de ces gaz inertes, n'ont besoin que d'un électron supplémentaire pour remplir leur dernière couche de valence. Ils attirent donc très facilement un électron supplémentaire dans leur couche électronique la plus externe pour acquérir la configuration de leurs voisins, bien plus stables.

Ce comportement implique l'ajout d'un électron (et donc une chage négative) de plus que leur nombre de protons : ils ne sont plus électriquement neutres, ce sont donc des ions. Comme ils ont une charge négative supplémentaire, ce sont des anions.

Ces éléments sont tous très colorés, très réactifs (justement grâce à cette capacité à capter un électron), corrosifs, et très toxiques. Toutes ces caractéristiques en font de bons bactéricides, ce qui explique qu'ils soient souvent utilisés dans les produits désinfectants.

2     Fluor

Le plus réactif des éléments chimiques !
13e élément le plus abondant dans la croûte.
Utilisé dans les dentifrices pour son action luttant contre les carries.
La fluorescence est l'émission de photons (donc de lumière) induite par l'excitation des électrons (généralement, l'absorption d'un photon) d'une molécule. Ce nom vient de la fluorite, un minéral de calcium et fluor (CaF2) qui émet fréquemment une fluorescence.
Le gaz difluor F2, de couleur jaune pâle, est très toxique et corrosif .

  Difluor, gaz toxique et corrosif
3     Chlore

Utilisé comme agent de blanchissant.
Utilisé comme antiseptique (notamment pour l'eau potable).
Composant de l'eau de javel
Composant du sel de table, le chlorure de sodium NaCl.
Le gaz diclhore Cl2, de couleur jaune-vert, très toxique , est 2,5 fois plus dense que l'air.  

   
4     Brome

Son nom vient de son odeur piquante (bromos = puanteur en grec).
Il est un des deux seuls éléments chimiques à être à l'état liquide à température et pression normales !
Comme il est facilement lessivé dans les roches, il est très abondant dans l'océan. De fait, l'eau de mer est une source de Br.
Le brome pur est un neurotixique , mais l'ion bromure, le plus souvent retrouvé, l'est beaucoup moins.
Utilisé comme désinfectant et purificateur, comme retardateur de flamme dans les industries de plastique et de PCB, comme révélateur photographique dans les émulsions photographiques : le brome assure qu'il y a suffisamment de lumière.

Note pour océanographes : Le Br, lorsqu'il est associé au Ca dans les données XRF de carottes prises au large du Groenland, est interprêté comme réflétant la production biogénique (Ren et al., 2009)
   
5     Iode

Relativement rare dans l'écorse terrestre.
Souvent retrouvé sous forme de diiode I2, sous forme d'un solide gris métallique donnant des vapeurs violettes .
L'iode radioactif permet de protéger la thyroïde en cas de désastre nucléaire.
Une carence en iode provoque la formation de nodules thyroïdiens et du crétinisme (c'est pour cela qu'il y a beaucoup de sels iodés).

   
6     Astate Radioactif !
Demi-vie = 8,1 heures.
Un des plus rares éléments chimiques trouvés dans la croûte.
Issu de la décroissance radioactive d'éléments plus lourds.
Assez peu connu.
   
7     Tennesine

De la famille des transuraniens, les 15 derniers éléments du tableau périodique.

Radioactif !
Découvert officiellement en avril 2010.
Synthétique.
Demi-vie = quelques dizaines à centaines de millisecondes.
Ses caractéristiques sont probablement assez différentes de celles des halogènes précédemment décrits.
 

 Famille IA : les alcalins

À l'inverse des halogènes, les métaux alcalins, tout à gauche du tableau, perdent facilement un électron pour se rapprocher de la configuration des gaz rares. Ils ont alors plus de protons (donc de charge positive) que d'électrons (donc de charge négative) : ils ne sont plus électriquement neutres, ce sont donc des ions, plus précisément, ce sont des cations

Ce sont des métaux suffisamment mous pour être coupés au couteau ! Ils sont extrêmement réactifs, notamment au contact de l'eau, avec laquelle ils forment des composés basiques. Dans la nature, ils sont toujours retrouvés associés à un autre élément chimique.

Ce sont des excellents conducteurs d'électricité et de chaleur (on comprend mieux pourquoi les batteries sont faites au lithium !).

2     Lithium

Utilisé pour traiter la dépression, pour la fabrication de batteries.
Les deux isotopes stables 6Li et 7Li ont une énergie de liaison par nucléon assez faible, ce qui fait de ces isotopes les moins stables de tous les éléments légers : ils sont utilisés pour la fission nucléaire et la fusion nucléaire.
Solide le plus léger qu'il y ait sur Terre
.
Essentiellement présent dans des pegmatites, des argiles et des saumures.
Très réactif.

 
3     Sodium

Un des composant du sel de table (NaCl).
Utilisé pour faire des lampes à vapeur de sodium.
22 isotopes connus, un seul stable : 23Na.
Très réactif. Au contact de l'eau : libère brutalement une grande quantité d'H, ce qui produit une explosion.

Note pour océanographes : Le Na étant un composant majeur de salinité de l'eau mer, il est fréquemment retrouvé dans les sédiments marins et peut difficilement être exploité dans une analyse XRF.
   
4     Potassium

Souvent lié à d'autres éléments dans l'eau de mer et les minéraux, notamment les argiles.
Propriétés chimiques similaires à celles du Na.
En contact avec l'eau, il produit une libération rapide et violente de dihydrogène, ce qui produit une explosion.
Utilisé pour fabriquer des détergeants, des injections létales (produit un arrêt cardiaque), de la poudre à canon, du fertilisant, des engrais...

Note pour océanographes : Le K est très utilisé dans les analyses paléoclimatiques. Le K est égénéralement un marqueur des argiles dans les données XRF (Weaver, 1967 ; Hennekan & De Lange, 2012)
   
5     Rubidium

Utilisé comme biomarqueur en médecine (permet de contrôler le taux de sang dans un organe), pour faire du verre blindé, et dans les feux d'artifice, il produit une belle couleur violette.
Utilisé aussi dans certaines cellules solaires photovoltaïques.
Il réagit violemment avec l'eau et s'enflamme au contact de l'air.
Température de fusion : 39,5°C !!
Le Rb se trouve notamment dans l'eau minérale, l'eau de mer, et les résidus de combustion des champignons, des betteraves et du tabac.

Note pour océanographes : Le Rb est un bon indicateur de la granularité des sédiments dans les données XRF (Rothwell et al., 2006 ; Hennekan & De Lange, 2012).
   
6     Césium

Radioactif !
Demi-vie du 137Cs = 100 jours.

Dès lors qu'il entre en contact avec l'eau, il produit une explosion.
Utilisé en médecine pour soigner le cancer du col de l'utérus et de la vessie.
Utilisé comme indicateur de radiation sur des sites ayant subi des accidents nucléaires.
Utilisé dans des horloges atomiques.

   
7     Francium

Radioactif !
Isolé en 1939 par Marguerite Perey.
Abondance d'environ 30g dans toute la croûte terrestre.
Synthétique.
Demi-vie = 22 minutes.
Utilisé pour étudier les interactions faibles.
 

Famille IVA : les carbonides ou famille du Carbone

 Les éléments de cette famille particulière possèdent tous quatre électrons de valence, ce qui implique qu'ils peuvent attirer ou repousser quatre électrons pour former des cations 4+ ou des anions 4-.

Cette famille se compose de trois métalloïdes et de trois métaux et présentent des abondantes très variées dans la croûte terrestre. Le Carbone et le Silicium sont notamment très présents, l'un, le carbone, étant un élément indispensable au Vivant, et l'autre, le silicium, étant majoritaire des les sédiments et minéraux de surface. 

2     Carbone

Le carbone, un métalloïde, est le 4e élément le plus abondant dans l'Univers.
Le carbone est essentiel au Vivant. Si l'eau H2O est le composé majoritaire des cellules, le carbone est à l'élément indispensable aux lipides autres molécules nécessaire au Vivant (acide nucléiques, protéines, sucres...).

Cet élément particulier existe sous plusieurs formes :
   - celle de corps simple, donc d'un corps composé d'un seul élément chimique : le carbone (exemple : le diamant) ;
   - celle de composé inorganique (exemple : le CO2) ;
   - celle de composé organique (exemple : le méthane, CH4) ;
   - celle de polymère (exemple : les fibres naturelles, comme les protéines, la céllosole, etc. ; les matières plastiques, etc.).
Pour en savoir plus sur le carbone, vous pouvez vous rendre à la page dédiée au cycle du Carbone.

Il existe trois isotopes du carbone, le 12C et le 13C qui sont stables et le 14C qui est radioactif. Son temps de demi-vie est de 5 730 ans, ce qui permet de dater les corps composés de carbone jusqu'à 45 000 ans dans le passé. Cet isotope est très utilisé en ce sens.

 
3     Silicium

 Le silicium, un métalloïde, est l'élément le plus abondant dans la croûte terrestre après l'oxygène. Toutefois, il n'est pas majoritaire dans le Vivant.
Cet élément est en revanche abondant dans les minéraux silicatés qui composent la majorité des sédiments de la surface terrestre. Par exemple, le Si est présent dans les argiles (kaolinite...), les minéraux tels que les quartz, les feldspath, etc.
Sous forme amorphe (donc sans structure cristalline), le SiO2 est issu de l'activité biologique des radiolaires et des diatomées.

Il existe trois isotopes stables naturels : 28Si (le plus abondant), 29Si, 30Si.
Il en existe également qui sont instables et artificiels : 25Si, 26Si, 27Si, 31Si, 34Si.

Note pour océanographes : le microorganismes siliceux (radiolaires, diatomées...) laissent une signature élevée en Si dans les données XRF des régions polaires. Le Si est toutefois souvent utilisé pour marquer une sédimentation argileuse.
   
4     Germanium

 Le germanium, un métalloïde, est semi-conducteur. Il est récupéré dans les fonderies de zinc, dont il est un sous-produit de fusion.
C'est un élément rare dont la teneur dans la croûte terrestre est très faible.
En revanche, il est présent dans l'ail, les grosses racines de ginseng de Corée, les champignons Ganoderma etl'algue Chlorella. Toutefois, cet élément est très toxque et provoque des insuffisances rénale

Cet élément est utilisé notamment pour des fibles optiques, l'optique dans l'infrarouge, les catalyseurs, l'électroniques et certains types de cellules photovoltaïques (source : Wikipedia).

Il existe cinq isotopes radioactifs naturels : 70Ge, 72Ge, 73Ge, 74Ge (le plus abondant), 76Ge (le moins abondant).
Le 76Ge est légèrement radioactif.

   
5     Stannum

Le stannum, un métal pauvre, est le nom latin de l'étain.
Ce métal est relativement ductile à température ambiante, cela signife qu'il se déforme facilement à la main.
Il résiste à la corrosion par l'eau de mer ou par l'eau douce, mais pas à celle par l'acide.

Il existe dix isotopes stables de l'étain, dont les trois majoritaires sont le 116Sn, 118Sn, et 120Sn (le plus abondant). Il est le second élément chimique doté du plus grand nombre d'isotopes stables, après le xénon.

De nombreux alliages existent avec l'étain, comme le bronze, le métal blanc, le métal anglais, le plomb typographique.
Bien que non toxique, l'étain étant souvent associé avec le plomb (qui est toxique), l'étain est souvent contaminé.

   
6     Plomb

 Le plomb est un métal malléable gris-bleu qui blanchit en s'oxydant.
Il est le plus lourd des éléments stables. Il est plutôt abondant dans la croûte terrestre et a commencé à être utilisé par les homonidés dès 40 000 ans dans le passé.
Au Moyen Âge, les alchimistes pensaient que ce métal particulier pouvait être transformé en or à l'aide de la pierre philosophale.

Cet élément est toxique, mutagène et reprotoxique. Classé comme probablement cancérigène, c'est un contaminant de l'environnement toxique et écotoxique dès de très faibles doses. La contamination au plomb entraîne un maladie appelée le Saturnisme.

N.B. : l'expédition Franklin, en 1845, a souffert de saturnisme à cause de conserves soudées avec un alliage de plomb et étain mal réalisé.

   
7     Flerovium

C'est un élément superlourd, Radioactif !
Sa période radioactive est de 2,6 secondes.
Synthétique, il a été synthétisé pour la première fois en 1998.
Il aurait un comportement similaire à celui des gaz rares volatils. 

 

Il y a encore beaucoup de choses à dire sur les familles chimiques, mais arrêtons-nous là pour le moment.

Les parties suivantes abordent des notions de chimie quantique un peu plus pointues. Alors prenez une grande inspiration et immergeons-nous dans l'infiniment petit pour comprendre plus en profondeur la construction du tableau périodique des éléments ! 

 

 

Références Bibliographiques

Le tableau périodique des éléments, Wikipédia.

Marie Curie, 1923. L'isotopie et les isotopes, Le Journal de Physique et le Radium, 33p.

Scerri, E. (2019). The periodic table: its story and its significance. Oxford University Press.

Cours de Chimie, Licence 1, Université de Bordeaux Sciences et Technologie, 2011. 

Les familles du tableau périodique, Alloprof.

Cordes Vocales, Encyclopédie Docteurclic.

Jerabek, Paul; Smits, Odile R.; Mewes, Jan; Peterson, Kirk A.; Schwerdtfeger, Peter (2019). Solid Oganesson via a Many-Body Interaction Expansion Based on Relativistic Coupled-Cluster Theory and from Plane-Wave Relativistic Density Functional Theory. The Journal of Physical Chemistry A, (), acs.jpca.9b01947–. doi:10.1021/acs.jpca.9b01947

Mécanisme du fluor pour la protection dentaire, Dentalcare.

Le Rubidium, CNRS.

Ren J., Jiang H., Seidenkrantz M-S., Kuijpers A. (2009). A diatom-based reconstruction of Early Holocene hydrographic and climatic change in a southwest Greenland fjord. Marine Micropaleontology, Vol. 70, issue3-4, pp. 166-176. https://doi.org/10.1016/j.marmicro.2008.12.003

Weaver C.E. (1967). Potassium, illite and the ocean. Geochimica et Cosmochimica Acta, vol. 31, issue 11, pp. 2181-2196. https://doi.org/10.1016/0016-7037(67)90060-9

Hennekam R. & De Lange G. (2012). X-ray fluorescence core scanning of wet marine sediments: methods to improve quality and reproducibility of highresolution paleoenvironmental records. Limnology and Oceanography: Methods. Vol. 10, pp. 991-1003. DOI 10.4319/lom.2012.10.991

Rothwell R. G., Hoogakker B., Thomson J., Croudace I. W., Frenz M. (2006). Turbidite emplacement on the southern Balearic Abyssal Plain (western Mediterranean Sea) during Marine Isotope Stages 1–3: an application of ITRAX XRF scanning of sediment cores to lithostratigraphic analysis. Geological Society publication, Vol. 267, pp 79-98. https://doi.org/10.1144/GSL.SP.2006.267.01.06

Information sur les familles du tableau périodique, Université de Namur.

Diatomées, Muséum National d'Histoire Naturelle.

Silicium, Wikipedia.

Carbone, Wikipedia.

Germanium, Wikipedia.

L'étain, Wikipedia.

Le Plomb, Wikipedia.